Le football en Haïti c'est le sport roi, petits et grands s'adonnent à coeur joie de taper sur un ballon dans les rues. Nombreux sont ceux qui rêvent de devenir un Ronaldo, Zidane, Maradona, Beckenbauer, Buffon, Messi, Neymar, et tant d'autres grands joueurs. Certains centres de football les acceuillent et les transforment en un bon joueur qui plus tard vont être le chouchou d'un peuple qui se réfugie derrière ce qu'ils aiment bien. Tout ça c'est pour montrer comment nous, les Haïtiens sommes attachants.
Les joueurs de football Haïtiens combien gagnent-ils par mois ou par année? Personne ne sait. Personne ne peut donner un chiffre exact. Mais si on veut savoir pour Cristiano Ronaldo, Messi et tant d'autres joueurs internationaux, c'est comme de l'eau à boire puisque ces informations sont stoquées sur le net, elle ne sont pas confidentielles. Mais qu'est-ce qui peut être à la base de cette non divulgation?
En tant que jeune qui réfléchit, qui agit, qui observe (...) je dirai que c'est la situation instable et insécuritaire du pays. Les joueurs sont les représentants publics de leur localité, lis sont connu partout dans le pays. Si leur salaire est su, ils seront des cibles de malfrats sans état d’âme. Mais aussi, on peut dire que les clubs ne sont pas budgétisés. Les gros sponsors ne prenent pas le risque d'investir en eux. Et, comment pourraient-ils donner un salaire important à chaque footballeur?
L’année dernière, j'ai rencontré un jeune footballeur qui souhaite garder l'anonymat. Ti Jean* a vingt-deux ans, il est en seconde , il joue pour club de la capital. Il m'a fait comprendre que par faute de moyens ces parents n'ont pas pu payer son écolage. Mais son club s'en est chargé, grâce à son club il peut continuer d'aller à l’école. La réflexion que j'ai faite si un club prend en charge l’année scolaire de cinq ou six joueurs par saison, c'est très considérable.
Dans cette perspective de raisonnements, est-ce qu'on peut dire que les joueurs Haïtiens ont un métier qui est le football? Bah, ouais! Ils ont un salaire et c'est le gagne-pain pour certains. Mais avant tout, l'amour du foot passe en premier.
monche bagay sa fem mal anpil pou jwe ayisyen prefere al jwe martinique, guadeloupe ke pou yo rete ayiti e se pa devlope yo devlope pase nou tout sa se dirijan nou yo ki pa bon pa gen okenn vale pou jwe nou yo saa tris anpil
ReplyDeletesa grav i
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